20 mars 1956 au réveil
Le contrôle sur les mouvements des vertèbres, perdu depuis longtemps (ce qui se traduisait par une sorte d’insensibilité et une incapacité de les mouvoir à volonté), est en grande partie revenu, la conscience pouvant de nouveau s’exprimer et le dos capable de se redresser très visiblement.[1]
Le même jour au balcon[2]
Redressement presque total, avec, dans les cellules du corps, la perception très claire de la force et de la puissance nouvelles.