18 juin 1965
Tu te souviens de ce que j'avais dit? que ce serait un «corps physique amélioré» – improved – qui ferait la transition entre le corps humain et le corps supramental3?... Sri Aurobindo m'a dit à sa manière, la nuit dernière, que c'était cela, que c'était vrai. C'était très intéressant.
Très intéressant.
1. Un peu plus tôt, le disciple était revenu à la charge, demandant la permission de cesser son régime carné et de revenir à la simple nourriture végétarienne. Mère avait refusé en raison de la santé du disciple.
2. Il existe un enregistrement de cette conversation.
3. Voir conversation du 17 avril 1965.

 

La nuit dernière, pendant longtemps, nous allions dans toutes sortes d'endroits que je ne connais pas: des villes, des campagnes, des forêts, etc. Ça a duré très longtemps. Et une fois, nous étions là, près d'une forêt (près d'une route qui traversait une forêt) et nous étions occupés, nous «parlions», lorsque, tout d'un coup, il se lève d'un bond... Tu sais, pour ainsi dire, il n'a jamais d'habits; je l'avais vu une première fois dans sa maison (sa maison supramentale), dans le physique subtil, et il était sans habits; mais c'est une espèce de matière vibrante: c'est très matériel, c'est très concret, et c'est une espèce de couleur qui n'en est pas une, qui est un peu dorée et qui est radiante – ça ne jette pas de rayons, mais ça vibre d'une lumière radiante. Et au moins neuf fois sur dix, il est comme cela; généralement, quand nous sommes ensemble pour du travail, il est comme cela. Il était comme cela la nuit dernière. Alors j'étais occupée (nous avions arrangé quelque chose et j'étais occupée) lorsque, tout d'un coup, je le vois qui se lève d'un bond et qui fait un cent mètres, a dash-race. J'ai eu d'abord un choc, je me suis dit comment?! Et très facilement, n'est-ce pas: il est parti comme une flèche, puis il s'est arrêté quelques minutes, puis il est revenu en courant. Puis encore il s'est arrêté, puis il est parti une troisième fois on a dash-race [dans une course de vitesse]: les cent mètres que l'on fait. Mais la troisième fois, il était devenu grand et un corps mince. Devenu grand, comme si c'était pour me démontrer: comme cela, le corps se transformera. Il était devenu très grand, très fort.
C'était très intéressant et tout à fait inattendu.
Et la seconde fois, il était plus fort que la première; et la troisième fois, il était magnifique: un grand être superbe avec cette substance vibrante, radiante. Et une course! des bonds! c'était fantastique. La dernière fois, c'était fantastique, comme s'il ne touchait pas le sol.
Nous «parlons» très-très rarement. Quelquefois il me dit une chose, mais c'est avec une portée spéciale et dans un but spécial – nous nous comprenons sans paroles. Là, il n'a rien dit, mais j'ai compris.
Cela faisait partie d'une très longue activité, mais cette chose m'a frappée beaucoup parce que c'était comme la réponse [à ce que je disais il y a quelque temps], il disait: «Oui, c'est vrai, tu as raison, c'est comme cela.» Et ce changement du corps entre les trois fois: la première fois, il était comme je l'ai connu mais plus jeune et plus alerte; et la seconde fois, il était déjà plus fort; et la troisième fois, il était magnifique.

 

Je voulais te raconter ça. C'est tout.
Maintenant, toi, qu'est-ce que tu as à me dire?
(silence)
Bien, je ne parle plus!
Il reste toujours la question que je t'avais posée à ce même propos: je vois mal comment le corps supramental, qui est d'une substance très matérielle mais quand même d'une substance différente...1
Ah! à ce sujet, j'ai eu une autre expérience il y a quelques jours... Tu sais que l'on parle d'une substance «plus dense» que la substance physique... Comment appellent-ils cela?... (Mère cherche en vain.) Théon en avait déjà parlé, mais je croyais que c'était son imagination. Mais on m'a dit que, scientifiquement, cela a été découvert et que la quantité de cette «matière plus dense» semble
AUGMENTER.
Comment appellent-ils cela? Il y a un nom. Je ne me souviens plus mais il y a quelque temps, un ou deux mois, quelqu'un venant de France m'a dit que, maintenant, on semble dire dans les milieux scientifiques que cette matière plus dense que la matière physique paraît augmenter en quantité sur la terre – ce serait extrêmement intéressant2.
Théon, lui, disait que le corps glorieux serait fait d'une matière plus dense que la matière physique, mais avec des qualités que la matière physique n'a pas. Et en effet, elle a des qualités, paraît-il, que la Matière n'a pas: comme l'élasticité, par exemple. Eh bien, il y a quelques nuits (je ne me souviens plus quand), j'étais dans un endroit où l'on avait rassemblé une sorte de substance qui était d'un gris pâle et qui ressemblait à de l'argile diluée (c'est-à-dire une pâte). Et élastique, (riant) gluant! Et c'était comme du ciment dilué, mais très pâle, d'un gris perle très joli, et collant: ça se tirait comme du chewing-gum! Et alors, il y avait un certain nombre de gens qui s'étaient rassemblés pour prendre des bains de cette substance. Il y en avait qui se traînaient là-dedans avec délice! ils se barbouillaient partout, et ça collait! Et moi-même...
1. Le disciple voulait dire qu'il voyait mal comment cette nouvelle substance, malgré tout très différente de la Matière, pourrait être préparée par une gymnastique du corps physique.
2. Il s'agit peut-être de la «matière ionisée»?

 

(une fois que l'on était là, on était obligé de se tremper dedans, plus ou moins: c'était comme si, même dans l'air, il y en avait; on ne pouvait pas ne pas en avoir), mais il y avait une dame qui prenait très grand soin de moi pour que ce ne soit pas trop incommode: je me souviens que j'avais une espèce de vêtement lumineux, blanc et rouge (blanc avec des ornements rouges), dans lequel je m'enveloppais pour que ça ne me colle pas après. Mais je regardais ça, et j'ai vu, par exemple, notre Purani1 qui se vautrait là-dedans, qui glissait avec délice! tout ruisselant de cette boue. Et tout le monde était dans cette boue. Seulement, c'était une boue gris perle d'une très jolie couleur, mais c'était collant! Et le matin, quand je me suis réveillée, je me suis dit: ce doit être la nouvelle substance qui est en préparation – qui n'est pas encore complète mais en préparation.
Il y avait des détails tout à fait amusants: c'était arrangé comme les établissements d'eaux thermales, tu sais, dans les grands endroits chics. C'était comme cela. Et on venait là prendre des bains de ça.
Comment appellent-ils cela?... Pavitra saurait le nom. Je connaissais: Théon lui avait donné le nom qu'on lui donne maintenant. Mais je ne me souviens plus. Une matière plus dense que la Matière physique. Mais élastique.
Et probablement une matière qui subirait quelques transformations, je ne sais pas. Peut-être que cette cape que je mettais sur moi était le symbole de... C'était blanc avec des fils d'or et des broderies rouges (c'était très beau) et je m'enveloppais avec ça de sorte que cette boue n'était pas gênante.
C'était le symbole de quoi?
De la force qui transformera ça en une substance acceptable.
(silence)
Probablement, la conscience qui saura utiliser cette substance (de même qu'il y a eu une conscience qui a su utiliser la substance corporelle) saura en faire quelque chose que l'on peut employer. Parce que nous y sommes habitués, mais il est évident que c'est une espèce de super-chimie qui a fait cette matière corporelle. Cela nous paraît tout naturel, mais ça n'a pas toujours été comme cela – il y a du chemin entre la méduse, par exemple, et puis ce corps.
1. Purani est décédé quelques mois après: le 11 décembre 1965.

 

J'avais l'impression d'une substance qui doit être soumise à un travail d'adaptation, de transformation, d'utilisation, et qui servirait de forme extérieure à l'être supramental.
J'ai l'impression que Sri Aurobindo a déjà sa forme supra-mentale subtile. Par exemple, pour les déplacements, on n'a pas l'impression qu'il soit soumis aux mêmes lois que nous; seulement comme c'est subtil, ça ne paraît pas étonnant. Et aussi une sorte d'ubiquité: il est à plusieurs endroits en même temps. Et une plasticité, une adaptabilité suivant le travail qu'il veut faire, les gens qu'il rencontre. Je me rends très bien compte dans ces activités que, moi, je le vois [Sri Aurobindo] d'une certaine façon, mais je pense que les autres ne le voient pas comme cela – ils le voient différemment, probablement avec des habits. Quand il a couru dans la forêt, nous étions tout seuls, et c'était une grande forêt où il n'y avait personne; et puis quelques minutes plus tard, nous étions à un autre endroit et il y avait du monde, d'autres gens à qui il parlait, et je n'avais pas du tout l'impression que les autres le voyaient sans habits: ils devaient le voir avec un habit.
Je l'ai vu une fois, il y a assez longtemps: je t'ai raconté l'histoire de son bateau, justement d'argile.
De glaise.
De glaise, oui.
De glaise rose1.
Oui, c'est une sorte de glaise, c'était une glaise rose. Eh bien, à ce moment-là, il semblait habillé. N'est-ce pas, ça n'a pas la fixité de notre matière.
C'était comme cette vision du «bateau supramental2» où l'on était habillé par sa volonté propre.
Mais dans mes activités de la nuit, c'est tout à fait naturel, je n'y pense pas – je ne suis pas là à observer avec le petit entendement imbécile de l'habitude, tout cela est tout à fait naturel.
Voilà, on a assez bavardé!
(Sujata:) Et toi aussi, la nuit, tu es grande.
1. Voir conversation du 29 juin 1963, Agenda IV, p. 202.
2. Voir Agenda I, p. 141, du 3 février 1958.

 

Je n'entends pas, mon petit, je suis dans mon nuage! (Sujata répète:) La nuit, quand on te voit, tu as l'air grande.
Mais oui! ah! ça, je sais! tous les gens me paraissent petits, et c'est seulement comme cela que je me rends compte – je ne sais pas que je suis grande, mais ils me paraissent petits.
Je suis grande.
(Sujata:) Tu as au moins cette hauteur (Sujata désigne le plafond de 4,50 m environ).
Oui, j'ai remarqué: souvent je regarde les gens comme cela (Mère se penche par-dessus son fauteuil). Mais c'est tout à fait naturel, je n'ai pas le sentiment d'être grande.
(silence)
Cette nuit, il y avait un moment où nous avions préparé un certain nombre de choses qui étaient, à la fois, comme de la nourriture, des remèdes et un moyen de transformer la Matière. Ça avait des couleurs différentes, c'était dans des éprouvettes, et il expliquait tout cela. Mais ce n'est pas la première fois: c'est arrivé très souvent. Et alors, le plus beau de l'affaire, c'est que quand je me réveille, tous les détails précis sont balayés immédiatement! comme si je sentais une main qui venait, qui prenait et qui enlevait – exprès.
Mais je me souviens, j'ai encore l'image où il est avec ses éprouvettes à montrer des choses. Il y avait un homme... qui avait l'air d'un savant (un homme d'une quarantaine d'années environ, entre quarante et cinquante ans, jeune, mais pas jeunet) et qui avait l'air très réfléchi. Il était assis. Je ne sais pas de quelle nationalité il est, je ne me souviens pas, mais c'était un moderne; il était moderne, avec des vêtements modernes, et Sri Aurobindo lui montrait ses éprouvettes avec des choses dedans et l'effet sur un ensemble de matière. Moi, j'étais là, je voyais ça (je regardais avec beaucoup d'intérêt), et à ce moment-là, je comprenais tout. Et je vois encore l'image, mais la connaissance mentale, la traduction mentale qui aurait fait que je pourrais me dire: «Maintenant, je sais», prrt! enlevée. Chaque fois, c'est la même chose.
C'est-à-dire que ce doit être donné à d'autres gens qu'à moi pour qu'ils l'utilisent, parce qu'ils ont un cerveau plus préparé que le mien, probablement, et des conditions de recherche meilleures.

 

Il est évident que le travail est en train de se faire.
(silence)
Encore autre chose, hier... quelque chose qui est en train de se préparer... Dans le temps, quand Sri Aurobindo était là et que j'habitais cette maison qui est maintenant le «dortoir annexe», il y avait une grande véranda; je me promenais de long en large dans la véranda (Sri Aurobindo était dans sa chambre, il travaillait), et je me promenais toute seule; mais je n'étais jamais seule: il y avait toujours Krishna – Krishna, le dieu Krishna tel qu'on le connaît, mais plus grand, plus beau, et pas de ce bleu ridicule, n'est-ce pas, bleu faïence! pas comme cela. Et toujours-toujours, nous nous promenions de long en large ensemble – on se promenait ensemble. Il était juste un tout petit peu en arrière (geste derrière et presque contre la nuque et les épaules)) moi, j'étais un tout petit peu en avant, comme si j'avais ma tête sur son épaule, et il se promenait (mais je n'avais pas le sentiment d'avoir ma tête sur son épaule, mais c'était comme cela), et nous nous promenions, nous communiquions. Cela a duré plus d'un an, n'est-ce pas, tous les jours. Puis ça a été fini. Je l'ai vu de temps en temps (quand nous avons déménagé, je l'ai vu); la nuit quelquefois quand j'étais très fatiguée, il venait et je dormais sur son épaule. Et alors je savais très bien que c'était une manière de Sri Aurobindo de se montrer. Puis, quand je suis venue ici [dans cette chambre], Sri Aurobindo était parti, et j'ai commencé à me promener de long en large en récitant mon mantra. Et Sri Aurobindo est venu, et il était exactement à la place où était Krishna (même geste, juste derrière la tête), et je me promenais et il était là, et nous nous promenions ensemble jour après jour, jour après jour. Et ça devenait tellement concret, tellement merveilleux que j'ai commencé à me dire: «Pourquoi m'occuper des gens, des choses, je veux être comme cela toujours!...» Il a attrapé ça, puis il m'a dit: «Je ne viens plus.» Et il a arrêté. J'ai dit: «C'est bon», et j'ai commencé mon mantra au Seigneur suprême, et j'ai beaucoup essayé qu'il vienne se promener avec moi, mais sous aucune autre forme: Lui-même. Et la Force, la Présence, tout était là, et je Le sentais de plus en plus, de plus en plus clairement, se tenant comme cela, juste derrière moi, impersonnel. Depuis quelques jours, j'avais une espèce de sentiment que j'étais proche de quelque chose; et hier pendant une demi-heure: LA Présence – une Présence... Une présence absolument concrète. Et c'est Lui qui m'a dit: «D'abord Krishna, puis Sri Aurobindo, puis Moi.»

 

Seulement (riant), Il ne veut pas que l'effet soit le même et que je dise: «Maintenant, assez des gens»!
*
* *
(L'importante digression qui suit a été déclenchée par une banale question: Mère demande à Sujata si sa nouvelle machine à écrire marche bien.)
(Sujata:) Ils ont arrangé le clavier de telle façon que l'on a beaucoup de mal à s'en servir.
Mais c'est international, non?
Oui, mais ils ont voulu «améliorer».
Ah!... C'était la même chose quand j'étais au Japon, tout ce qu'on leur apprenait, ils l'«amélioraient» – ça devenait absolument impraticable! Après l'occupation américaine, ils ont compris.
(silence)
«On» est en train de se demander si, vraiment, il ne sera pas nécessaire qu'il y ait une occupation américaine ici, qui aurait le double effet de convertir les Américains et de faire faire un progrès aux Indiens... Un progrès pratique, ils le feront, comme les Japonais l'ont fait. Et les Américains sont des disciples des Japonais maintenant: au point de vue de la Beauté, ils ont fait un progrès merveilleux et absolument inattendu. Si les Américains venaient ici, ils seraient convertis, ils deviendraient... oh! ils comprendraient la vie spirituelle. Seulement, n'est-ce pas, ce ne serait pas agréable (!) Mais c'est le procédé le plus sûr – c'est toujours le dominateur qui apprend la leçon du dominé. Les Américains deviendraient peut-être les plus militants spiritualistes du monde s'ils occupaient l'Inde. Seulement les Indiens auraient du mauvais temps... Mais ils deviendraient très pratiques, ils sauraient mettre de l'ordre dans ce qu'ils font – ce qui leur manque tout à fait (tu n'as qu'à voir: je ne te l'ai pas fait dire pour cette machine à écrire).
C'est ennuyeux. C'est quelque chose qui est en suspens (l'occupation américaine). Dans la conscience active, je ne le veux pas. D'abord, cela prendrait longtemps – ça prend toujours longtemps.

 

Beaucoup de temps perdu, beaucoup de souffrances, beaucoup d'humiliations. Mais c'est un moyen très radical.
En tout cas, si une nouvelle domination est indispensable, il est infiniment préférable que ce soit par les Américains que par les Russes parce que, ce que l'on apprendrait des Russes est une leçon inutile : c'est la communauté, la vérité de la communauté – les Indiens le savaient avant les Russes (les Sannyasins étaient la communauté idéale); ils le savaient avant les Russes, par conséquent ils n'ont rien à apprendre là, c'est tout à fait inutile. Et pour dire la vérité, il m'est tout à fait égal que les Russes soient spiri-tualistes parce que les Russes, dans leur âme, sont mystiques – ils sont au moins (au moins) aussi mystiques que les Indiens. Alors toute leur communauté et leur communisme, c'est de la prétention. Ça ne servirait à rien – à rien.
Une occupation américaine, c'est un moyen drastic [radical], mais... Oh! quand je vois ici ce qu'ils peuvent être imprégnés de l'esprit anglais, oh! c'est hideux – je n'aime pas les Anglais. Et les Anglais... les Anglais ont appris des Indiens au maximum, mais le maximum pour eux est très peu de chose. Les Américains veulent apprendre. Ils sont jeunes et ils veulent apprendre; les Anglais sont vieux, rassis, durcis et... oh! d'une prétention – ils savent tout mieux que tout le monde. Alors ils ont très peu appris. Ils ont bénéficié au maximum, mais c'est très peu; le maximum pour eux est très peu. Les Anglais... (geste d'engloutissement) ils sont destinés à descendre sous l'eau1.
Oh! j'espère que vous n'enregistrez pas cela!
On a plutôt l'impression que ce sont les Chinois qui viendraient ici, non les autres.
Oh! mais les Chinois... Les Chinois viennent de la lune, qu'est-ce qu'ils font sur la terre! Les Chinois ne sont pas d'origine terrestre: ils sont d'origine lunaire.
Oui, mais enfin ce sont plutôt eux qui viendraient ici que les Américains ou les Russes, semble-t-il?
1. Mère avait déjà dit au disciple, il y a de nombreuses années, que l'île d'Angleterre était destinée à disparaître sous les eaux. Or, il est remarquable que les experts anglais ont fait l'observation suivante, ainsi qu'il est rapporté dans le Sunday Standard du 20 janvier 1974: «Londres, disent-ils, est devenue plus vulnérable aux inondations du fait que l'Angleterre bascule lentement: le sud-est s'enfonce graduellement tandis que le nord-ouest de l'Ecosse remonte.»

 

Que les Américains...
Les circonstances semblent plutôt..
Non, les Américains peuvent venir pour «sauver» l'Inde de la
Chine.
(silence)
Être sous la domination des Chinois, il vaut mieux mourir avant. Ce sont des... au point de vue sensibilité, ce sont des monstres. Ce sont des monstres.
Ils sont lunaires – lunaires, c'est-à-dire froids, glacés.
Ça, il n'y a pas d'hésitation entre les deux. Les Chinois, la domination chinoise sur la terre, c'est... c'est un durcissement de la terre, un refroidissement de la terre comme la lune. Oh! ce serait épouvantable.
Ah! au revoir, mes enfants.
Nous ne voulons pas de catastrophes1.
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