3 janvier 1973
(À la fin de l’entrevue.)
(Sujata:) Douce Mère, j’ai une prière – j’ai une prière... Tu sais, Satprem est très tourmenté; alors ma prière, c’est que tu enlèves son tourment.
Pourquoi tourmenté?
(Riant:) C’est sa nature, douce Mère!
(Satprem fait une grimace)
Tu sais, moi, je n’ai qu’une solution – toujours la même, pour tout: comme ça (geste mains ouvertes). N’exister plus, être comme ça (même geste), quelque chose qui laisse passer et qui... qui est mû par le Divin. Voilà. Alors ça va[1].
(Mère prend les mains de Satprem et plonge, avec un doux sourire)
[1]. Il existe un enregistrement de cette conversation.